Sondages et groupes de discussion

Sondage exclusif – Pères et séparation conjugale

[2024] Sondage auprès de pères québécois s’étant séparés au cours des 10 dernières années afin de mieux comprendre le déroulement de la séparation, ses répercussions et la valorisation de leur rôle de père durant le processus.

Un père sur sept a besoin d’aide

[2022] Un sondage SOM a révélé qu’un père québécois sur sept est en situation de détresse psychologique élevée et que les deux tiers des pères les plus vulnérables n’ont bénéficié d’aucune aide psychosociale. Le sondage révèle également les cinq facteurs associés à une plus forte détresse psychologique.

Conjuguer au masculin la conciliation famille-travail

[2021] Données comparatives tirées de deux sondages menés en 2021 auprès des pères ainsi que des employeurs québécois au sujet de la conciliation famille-travail et présentées par Diane-Gabrielle Tremblay, professeure en gestion des ressources humaines à l'université TELUQ.

Les pères québécois : champions canadiens de l’engagement paternel

[2021] Ce sondage Léger, réalisé auprès de 2001 pères canadiens, conclue que, comparativement aux pères des autres provinces canadiennes, les pères québécois s’inscrivent davantage en rupture avec la conception traditionnelle du père pourvoyeur, accordent plus d’importance à la coparentalité, au partage des tâches et plaident davantage en faveur de la garde partagée lors d’une séparation conjugale.

Le travail d’équipe des parents renforcé par le confinement dans près de la moitié des familles

[2020] Ce sondage réalisé auprès de 1000 pères et de 1000 mères alors que le Québec traverse une crise sanitaire reliée à la COVID, conclut que le confinement renforcerait le travail d’équipe pour près de la moitié des parents.

400 pères anglophones

[2019] Réalisée à partir des réponses de 400 pères québécois d’expression anglophone, cette étude met en lumière les vulnérabilités particulières auxquelles ceux-ci sont exposés. De ce fait, 74% des pères anglophones questionneraient la réponse des services publiques à leurs besoins. Les pères anglophones ressentiraient davantage de stress, de difficulté à s’adapter à leur rôle et douteraient plus de leurs habiletés parentales que les pères francophones.